BX1 Médias de Bruxelles // Les élèves de l’Ecole supérieure des arts du cirque ravis par leurs nouvelles infrastructures au Céria

L’Ecole Supérieure des Arts du Cirque (Esac) a déménagé, depuis septembre, sur le campus du Ceria à Anderlecht. L’établissement, qui accueille 50 élèves, sera inaugurée officiellement ce jeudi.

En attendant la cérémonie de jeudi, voici en avant-première une petite visite des salles d’entraînement. “On a beaucoup de place. On a des espaces pour danser et pour s’entraîner, mais aussi un studio de spectacle”, se réjouissent entre autres deux élèves de l’établissement. “Je ne suis là que depuis une heure, mais je trouve cela magnifique. On a de la lumière. L’espace est conçu pour l’école. C’est vraiment un très chouette lieu!”,  complète un autre artiste.

Un reportage de Catarina Letor et Camille Dequecker.

pour visionner la vidéo cliquez ici

RFI // VIDA EN EL PLANETA PodcastProfeson: actor de circo

El circo se desarrolla a una gran velocidad a nivel internacional. Ello se explica por su apertura a la innovación en el terreno de la creación y por saber reflejar los temas más sobresalientes de la sociedad contemporánea. La ciudad de Bruselas, en Bélgica, ofrece un ejemplo de esta extraordinaria evolución, con su Escuela Superior de Artes Circenses, que enorgullece a los belgas.

“Pienso que esto se debe a que muchos profesionales de la enseñanza y de la cultura trabajaron durante mucho tiempo con ese objetivo y ahora cosechamos los frutos. Además, acogemos muy bien a los estudiantes, tenemos un excelente nivel de formación y muchas posibilidades de desarrollo. Si a eso añadimos el hecho de que Bruselas es una ciudad atractiva, bien situada geográficamente en Europa y a nivel cultural, pues podemos explicar este éxito”, afirma Virginie Jortay, directora de la Escuela Superior de Artes Circenses de Bruselas, (ESAC) mientras nos hace una visita guiada de los locales de esta institución.

Sesenta por ciento de los alumnos, incluyendo a los belgas, son europeos. Cuarenta por ciento proviene de otros continentes, una mayoría de jóvenes es hispanohablante, muchos de ellos son originarios de América Latina.

pour consulter l’article on line cliquez ici

Le Monde.fr // Immersion au coeur de l’Ecole supérieures des arts du cirque de Bruxelles

Trois années de cirque – Créée en 1999, l’Ecole Supérieure des Arts du Cirque (ESAC) de Bruxelles est la seule école du Plat Pays à préparer ses étudiants au Bachelor en arts du cirque. L’Ecole inaugure officiellement en ce mois d’avril 2018 ses nouveaux locaux, situés dans une ancienne chaufferie, au sud-ouest de la ville. Chaque jour, une cinquantaine d’étudiants venus des quatre coins du monde inventent le nouveau cirque de demain. Ils y étudient durant trois années une spécialité circassienne mais aussi l’histoire du cirque ou l’interprétation théâtrale. 

Pas des stars – Les étudiants arrivent à l’ESAC en maîtrisant déjà une spécialité – corde volante, jonglerie, contorsion… Ils ont généralement suivi une école préparatoire pour leur permettre d’atteindre le haut niveau requis par une école supérieure. Le recrutement s’effectue sur concours avec une centaine de postulants pour seulement une quinzaine de places par promotion. « Ils doivent être capables de faire preuve de curiosité humaine, de créativité et d’humilité. Ce ne sont pas des stars », insiste la directrice de l’ESAC, Virginie Jortay.

L’Echo // le cirque a son école grand format

Ces jeudi et vendredi, l’École supérieure des arts du cirque (l’Esac) inaugure son nouveau bâtiment. Une réussite qui ouvre les champs de la création, même si chacun doit encore prendre ses marques.

La réputation de l’Esac, l’École supérieure des arts du cirque, n’est plus à faire. Des étudiants viennent du monde entier dans cette école d’excellence qui est aussi la seule, en Belgique, à proposer une formation officielle dans le domaine. Depuis 1993, l’école était nichée au Sud de Bruxelles, à Auderghem, dans un espace plein de charme mais devenu trop petit.

En septembre dernier, l’Esac a déménagé à l’ouest de la capitale, à Anderlecht, dans l’ancienne chaufferie du campus du Ceria, rénovée, adaptée et agrandie d’un nouveau bâtiment contigu. Un projet soutenu par la Cocof à hauteur de 5 millions d’euros

Simplicité des lignes, lumière naturelle, fonctionnalité, flexibilité d’usage et sensation de collectivité ont guidé le travail de l’atelier d’architecture Daniel Delgoffe. En circulant dans le bâtiment, on a toujours un contact visuel avec ce que les autres sont en train de faire grâce aux parois vitrées.

Chaque discipline a sa propre salle: danse, musique, agrès, cours théoriques, etc. Une salle de représentation avec gradin de 250 places escamotables, des chambres pour les intervenants invités, les bureaux administratifs tout en haut, viennent compléter le dispositif.

Les 50 élèves et leurs 50 professeurs (dont une moitié de permanents) ne sont pas à l’étroit. « On voit que les conditions de travail influent sur la manière de chercher, de créer. Quand on habite petit, on pense petit. Quand on habite grand, on pense grand, résume la directrice de l’Esac, Virginie Jortay. L’ampleur d’espace qu’on a ici ouvre l’imaginaire. Et permet aussi de combiner deux ou même trois agrès, ce qu’on ne pouvait pas faire auparavant. »

 

pour lire la suite cliquez ici